1er cas : si a = b
Si a = b = 0, on obtient « 0 0 0 0 ... » le chaînonze est 1-périodique
donc a fortiori 6-périodique.
Si a = b = 1, on obtient « 1 1 0 » et le chaînonze est fini de longueur 3.
Si a = b avec a > 1, on obtient « a a 0 (11 – a) (11 – a) 0 a a ... » le
chaînonze est 6-périodique sans blocage.
2e cas : a = b + 1
la chaîne se bloque et est de longueur 2.
3e cas : a = 0 et b = 1
« 0 1 1 0 » est le prolongement en un chaînonze de longueur 4.
4e cas : 0 < a < b,
« a b (b – a) (11 – a) (11 – b) (11 + a – b) a b » est le prolongement en
un chaînonze 6-périodique ou se bloque d’après la question précédente si
![]() | b – a = b – 1, c'est-à-dire a = 1 et la chaîne est de longueur 3, |
![]() | 11 – b = 11 – a – 1, c'est-à-dire b = a + 1 et la chaîne est de longueur 5. |
5e cas : Si b = 0 et a > 1
le prolongement est « a 0 (11 – a) (11 – a) 0 a » et le chaînonze est
infini.
6e cas : Si a > b + 1 > 1
« a b (11 – a + b) (11 – a) (11 – b) (a – b) a b » le chaînonze est
6-périodique ou se bloque si 11 – a = 11 – a + b – 1, c'est-à-dire b = 1 et la
chaîne est de longueur 4.
On résume tous les cas dans un tableau dans lequel figurent 33 cas de blocage et 67 cas fournissant des chaînonzes infinis et 6 périodiques.
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