L’interactivité d’un jeu permet à chaque participant de s’y impliquer, c’est donc par essence une activité différenciée dont on peut user de temps en temps. Citons quelques exemples pédagogiquement intéressants :
pour assimiler une technique de calcul, deux voisins de table peuvent se poser mutuellement un calcul ou analyser un énoncé (vrai ou faux) imaginé par l’autre ; | |
les différents « jeux du portrait », préconisés par les programmes de
collège, permettent de s’approprier les propriétés caractéristiques des
quadrilatères, ou encore les nombres entiers en fonction de leurs propriétés de
divisibilité. À titre d’exemple, quatre de ces jeux ont été mis en ligne sur le serveur académique à la suite des journées de novembre 2005 (adresse : http://mathematiques.ac-dijon.fr/, rubrique de l’inspection, les mathématiques au collège, mars 2006, quatrième partie, l’aspect multiforme du raisonnement, « prouver, déduire, justifier, argumenter ») ; | |
les rallyes mathématiques, les nombreux jeux nationaux (Integraλ, Mathador) constituent également une source intéressante de jeux pédagogiques. |